S’il y a bien une chose qui m’agace dans les romans, ce sont les longs chapitres (bon, il y a aussi l’écriture au présent simple qui me hérisse les poils mais c’est une autre histoire…). Moi qui aime tout maîtriser, j’ai du mal à interrompre ma lecture en plein chapitre, même si la lecture ne me plaît pas. Juste parce que c’est désagréable.
L’avantage des chapitres courts, c’est qu’on peut les enchaîner rapidement, en lire un en dix minutes pendant une pause, une marche, un voyage en métro ou en bus… Chose impossible lorsque l’on a affaire à des chapitres longs (à moins de s’interrompre, on en revient au problème initial) ! Et quand je dis longs, c’est à partir d’une vingtaine de pages (eh oui).
Je pense par exemple aux romans de Shane Stevens. Je suis en fait en train de lire L’heure des loups et je retrouve le même problème que dans Au-delà du mal, c’est-à-dire des chapitres longs ! Et encore ! Dans Au-delà du mal, c’était vraiment impressionnant… Par moments, j’étais vraiment obligée de lâcher le livre en plein chapitre (pour vivre tout simplement), c’était l’horreur absolue.
Je dois être un peu névrosée à ce niveau-là, mais si le chapitre est interminable, je ne pense plus qu’à ça. Genre à chaque page, je regarde combien il m’en reste à lire avant de finir le chapitre. Et je prépare la lecture du chapitre suivant. J’ai conscience que cela n’est pas “normal”, dans le sens où cela n’arrive à personne. Le hic, c’est que cela m’arrive même si l’histoire me plaît. MAIS QUEL EST MON PROBLEME ?
Bonjour, éh bien même si je ne travaille plus c’est vrai que moi aussi je suis un peu angoissée par les chapitres trop longs. Je lis beaucoup et le soir, la nuit et quand j’en arrive à la sixième ou septième page d’un chapitre alors que mes yeux clignotent et que je fatigue , j’angoisse en m’apercevant du nombre de pages qu’il me reste avant la fin du chapitre. Souvent donc je me force à le finir parce que je n’aime pas en laisser un à moitié fini mais le lendemain….? Je dois recommencer parce que je ne m’en souviens plus bien.
Lorsque je travaillais encore j’étais comme toi à lire pendant ma pause et pareil je n’aimais pas fermer le livre sur un chapitre non fini.
En fait, j’aime bien les choses concises 😉
Chouette, je ne suis pas seule ! 😉
Tiens, tiens… ça me donne une idée pour « cette fille est la seule à… » 😉 Et sinon, à quand un article sur le présent simple ?
Ca viendra peut-être… mais il faut que je puisse argumenter, ça me semble difficile puisque c’est une sensation. Bon, je vais essayer.
« Je dois être un peu névrosée à ce niveau-là, mais si le chapitre est interminable, je ne pense plus qu’à ça. Genre à chaque page, je regarde combien il m’en reste à lire avant de finir le chapitre. Et je prépare la lecture du chapitre suivant »
Tu n’es pas seule !
YOUHOU !! 😀
Ces névroses de lecteurs … On en a tous ! Pas celui-là en l’occurence, mais par exemple je n’achète pas un bouquin dont la couverture ne me plait pas/me fait peur. Même si j’ai hyper envie de le lire. Je cherche une autre édition ^^
Sinon, je plussoie pour le présent simple, ce fléau …
Non, non, tu n’es pas la seule, les lecteurs névrosés sont nombreux et les chapitres interminables sont une plaie (et je ne te parle même pas des livres sans chapitres, inventés exprès pour torturer le lecteur) !
Alors ça, je ne supporterais pas… Tu as un exemple de roman construit de cette manière ? Pour éviter que je le lise… 😉
J’ai pas de titre qui me vient en tête spontanément, c’est bête, ça pourrait éviter de mauvaises surprises… Si jamais un exemple me revient j’essaierai de penser à t’en faire profiter 🙂
Ah, je te comprends ! Je me rappelle quand j’étais plus jeune, mes parents m’appelaient pour manger ( ou pour faire autre chose … ) et je leur répondais toujours : » oui mais non mais atteeeeends, je termine mon chapitre ! « . Ca me paraissait impossible de ne pas finir mon chapitre !
😀 Hihi ! Pareil !